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couleurs

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2309 cartes postales :

 






    notice :
    [Amilcare Cipriani]. — Roma : A. Liebman et C. - Roma, [s.d.]. — 1 impr. photoméc. (carte postale), coul. (couleurs  : sépia) ; 14 × 9 cm.
    • Classement des cartes  : CPA (carte postale ancienne) avant 1918
    • CP par pays  : Italie
    • Noms cités (liste positive)  : Cipriani, Amilcare (1843-1918)
    • Symboles ❦ :
    • Lieux d’archivages  : image web non située
    • Liste des thèmes  : religion et spiritualité (en général) dont anticléricalisme
    • Séries  :

    [CP Italienne, portrait du révolutionnaire Amilcare Cipriani. Au verso citation anticléricale de Cipriani en soutien du journal "L’Asino, qui même une campagne contre les prêtres et le Vatican.]



    AMILCARE CIPRIANI

    au verso :

    lo che sono, proprio davvero, un socialista-rivoluzionario intransigente, trovo che l’Asino fa una campagna anti-pretina ammirabile, utilissiama, efficacissima, perchè il più temibile, il più pericoloso, il più scellerato ed il più implacabile dei nostri nemici e del nostro ideale di giustizia, di bontà, di amore, di pace, e di umanità, è il prete, e quell’antro di corruzione e di delitti che è il Vaticano.
    Il prete è quello che contamina i fanciulli moralmente e fisicamente, che corrompe le donne, che dell’uomo fa un fanatico accoltellatore, e questa è la setta infame che noi non dovremmo mai perdere di vista.
    Essa è nelle famiglie, nelle scuole, nelle amministrazioni, nelle banche, negli impieghi, in tutti i grandi affari, e presto sarà preponderante in Parlamento, e non è lontano il giorno in cui l’Italia clericale farà dimenticare il Belgio.
    E come ? V’è un giornale che osa solo attaccarsi a codesto colosso e tentare di minarlo coi sarcasmi, collo smascherare tutte le sue turpitudini, ed è a questo eroico giornale che si fa guerra ?
    Domando ancora. Perchè ?
    lo sono di parere, che non si suol fare opera più cattiva più antisociale che combattere l’Asino. Anzi, lo si dovrebbe proteggere, difendere, sostenere, non foss’altro che per far dispetto ai preti, per non avere il plauso dei preti, plauso che é una macchina infame.

    AMILCARE CIPRIANI

    STAB. A. LIEBMAN & C. - ROMA







    notice :
    [L’Internationale ]. — Paris : Hayard, Paris, [[s.d.] ?]. — 1 impr. photoméc. (carte postale), coul. (couleurs  : colorié) ; [9 ?] × [14 ?] cm.
    • Classement des cartes  : CPA (carte postale ancienne) avant 1918
    • CP par pays  : France
    • Noms cités (liste positive)  : Degeyter, Pierre (1848-1932)  ; Pottier, Eugène (1816-1887)
    • Symboles ❦ : Chaînes brisées  ; Drapeau rouge ⚐  ; Epée, sabre  ; Femme
    • Lieux d’archivages  : image web non située
    • Liste des thèmes  : art : chanson  ; Internationales  ; internationalisme  ; révolution
    • Séries  : Les Chants révolutionnaires célèbres

    [CP dessin femme avec un drapeau rouge marqué de "L’Internationale" foulant aux pieds les privilèges et autres monopoles (chaînes, crosse et épée brisées). Couplets de l’Internationale d’Eugène Pottier et d’Adolphe Degeyter.]


    Symboles utilisés : — — —

    L’INTERNATIONALE

    Paroles d’E. POTTIER Musique de Adolphe DEGEYTER

    1er Couplet

    Debout, les damnés de la terre
    Debout, les forçats de la faim
    La raison tonne en son cratère
    C’est l’éruption de la fin
    Du passé, faisons table rase
    Foule esclave, debout ! debout !
    Le monde va changer de bases
    Nous ne sommes rien, soyons tout !

    C’est la lutte finale
    Groupons-nous et demain
    L’Internationale sera le genre humain.

    2

    Il n’est pas de sauveur suprême
    Ni dieu, ni césar, ni tribun !
    Producteurs sauvons-nous nous-mêmes
    Décrétons le salut commun
    Pour que le voleur rende gorge
    Pour tirer l’esprit du cachot
    Soufflons nous-mêmes notre forge
    Battons le fer tant qu’il est chaud !

    4

    Hideux dans leur apothéose
    Les rois de la mine et du rail
    Ont-ils jamais fait autre chose
    Que dévaliser le travail ?
    Dans les coffres-forts de la bande
    Ce qu’il a créé s’est fondu,
    En décrétant qu’on le lui rende
    Le peuple ne veut que son dû.

    au verso :
    Hayard - Paris