affiche :
CONFÉRENCE
Paul ROBIN
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AYONS PEU D’ENFANTS
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RÉGÉNÉRATION
Accueil > Catégories > zone 4a. Lieu de l’édition > Paris
[CP photo des locaux de "Régénération" au 27 rue de la Duée à Paris. Photo de groupe prise en mars 1907. Assis : Paul Robin (à gauche), Fernand Mascaux (fondateur de la ligue néo-malthusienne belge), à droite. Debout, de gauche à droite : Eugénie de Bast, Albert Gros, Gabriel Giroud, Fernandez, Mme Fernandez, Emilia Souply et Eugène Humbert.
Sur l’affiche les noms de Paul Robin, E ; Souply, Auguste Liard-Courtois, Perri-Pisani, Tarboureich. ]
affiche :
CONFÉRENCE
Paul ROBIN
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AYONS PEU D’ENFANTS
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...................RÉGÉNÉRATION
[CP illustrée par Eugène Petit pour monter que le salariat équivaut à la prostitution et l’esclavage. Deux travailleurs, un manuel et un intellectuel et une femme nue enchaînée au pied d’un vieillard au dessus duquel trône un coffre-fort.]
Symboles utilisés : Chaines, liens, cordes — Femme nue (Liberté, Vérité) — Coffre-fort, magot /B_tout>
QU’ON PROSTITUE SON CERVEAU, SES BRAS OU
SON BAS-VENTRE, C’EST TOUJOURS LA PROSTITUTION et
L’ESCLAVAGE.Eug. Petit
au verso :
Travail en Camaraderie
Imprimerie des Causeries Populaires
[CP française, portrait de Jean-Baptiste Clément (1836-1903) auteur de la célèbre chanson "Le Temps des cerises", par A. J. Alexandrovitch.]
/B_tout>
a. j. alexandrovitch
J. B. CLEMENT
Dessin d’Alexandrovitch
au verso :
Edition de la librairie de l’Humanité
120, Rue Lafayette
[CP française, portrait par A. J. Alexandrovitch de Paul Lafargue (1842-1911) qui n’était certes pas anarchiste, mais tout de même l’auteur du célèbre "Droit à la Paresse".]
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Paul LAFARGUE
par A. J. Alexandrovitch
[CP portrait de Léon Tolstoï. Correspondance de Paul Delesalle à Eugène Humbert en 1907 (pour cette carte du fond Humbert de l’IISG d’Amsterdam).]
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TOLSTOÏ
au verso, tampon :
LA PUBLICATION SOCIALE
46, Rue Monsieur-le-Prince, PARIS
[CP série : Les Chants révolutionnaires célèbres - ici une poésie de E. Xautrac : "L’ouvrier vaincu".]
LES CHANTS RÉVOLUTIONNAIRE CÉLÈBRES
L’OUVRIER VAINCU
POÉSIE de E-XAUTRACGravelle
Un triste jour d’hiver. (*) semblable à celui-ci
Dans une des vieux faubourgs, je suis né prés d’ici.
Ma famille, à dix ans, toute était disparue,
En haillons, librement, j’ai grandi dans la rue,
Jouant dans les ruisseaux avec les garnements,
Et ce furent, ma foi, mes plus joyeux moments.
J’achetais un cornet de frites, bien dorées,
Et du soir au matin je fouillais les replis
De ce monde étonnant qu’on appelle Paris
Je vendais du mouron, des boites de cirage,
Et sans même y penser, je grandissais en âgeJ’eus alors treize ans, quand un vieux charpentier
M’emmenant avec lui, me montra le chantier.
J’aimais à voir pousser un grand échafaudage.
Il me prit avec lui, me fit mordre à l’ouvrage ;
Jamais je n’avais peur, et petit à petit
Il fit un compagnon du mauvais apprentis
Après, je fus soldat, enfin bref, voilà comme
A vingt-sept ans je fus mon maître, étant un homme
Je travaillais beaucoup, je buvais quelquefois
Surtout les samedis de chaque fin de mois.
Parfois, pendant trois jours j’allais à la Courtille,
Oubliant l’existence entre des bras de filles
Puis je m’en revenais, sans un sou, harassé,
Sans trop même savoir ce qui s’était passé.
Tout ça me dégoutait, j’avais une voisine,
Couturière gentille et restée orpheline,
Je l’aimais et ma foi nous eûmes un enfant,
J’aurais pu la lâche, comme on fait très souvent,
Mais au lieu de ça, nous nous mîmes en ménage
Cela dura vingt ans, les enfants, le chômage,
Les frais de maladie et les frais des huissiers.
J’ai passé par tout ça, comme les ouvriers,
Puis ma femme mourut et, selon la nature,
Les enfants sont partis, chacun à l’aventure,
Tous aussi gueux que moi, malheureux tout le temps
Je reste seul, portant mon poids de soixante ans.
au verso :
Hayard. - Paris
[CP chanson et musique série "Le Chants révolutionnaires célèbres ici : La Carmagnole, avec différentes versions.]
LES CHANTS RÉVOLUTIONNAIRE CÉLÈBRES
LA CARMAGNOLE
Que demande un républicain - Que demande un républicain ?
La liberté du genre humain - la liberté du genre humain
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.......................................................................... Et la paix aux chaumières -
Vive le son - Vive le son - Et la paix aux chaumières - Dansons la carmagnole
Vive le son - Vive le son - Dansons la carmagnole - Vive le son du canon.En 1792
Madam’ Veto avait promis (bis)
De faire égorger tout Paris (bis)
Mais son coup a manqué
Grâce à nos canonniers,Dansons la Carmagnole (bis)
Vive le son, vive le son (bis)
Dansons la carmagnole (bis)
Vive le son du canon ! (bis)En 1793
Ah ! s’ils avaient le sens commun, (bis)
Tous les peuples n’en feraient qu’un, (bis)
(Au lieu ?) de s’entr’égorger,
Ils viendraient tous mangerA la même gamelle,
Vive le son, vive le son,
A la même gamelle,
Vive le son du canon !Pendant la Commune
Viv’ la Commune de Paris (bis)
Ses mitrailleuse’s et ses fusils, (bis)
La Commune battue
Ne s’avoue pas vaincue.
Elle aura sa revanche, etc.
au verso :
Hayard. - Paris
[CP chanson et musique série "Les Chants révolutionnaires célèbres", ici : La Marche des Socialos.]
Symboles utilisés : Ouvrier, prolétaire, usine ⚙ — Croix (religion, mort) ☦ — Couleur rouge — Explosion d’un bombe /B_tout>
LES CHANTS RÉVOLUTIONNAIRE CÉLÈBRES
LA MARCHE DES SOCIALOS
Musique de Paul SAPHIR
Paroles de LUCCouplet :
Partout l’on entend l’âpre clameur du Prolétaire
Partout la misère comme une lèpre s’étend
Travail et souffrance voilà quel est notre sort.
Marchons à la délivrance Ou bien à la mort
Marchons sans défaillance, plus de pleurs, de sanglots.
C’en est trop !...On prend nos enfants,
Pour de sanglantes boucheries,
La Mère Patrie
Se gorge de notre sang
Les peuples sont frères
En redoutent les combats.
Nous ne voulons plus de guerres
Et plus de soldats.
Supprimons les frontières.
Brûlons tous les drapeaux.
C’en est trop !...Le prêtre, homme noir ;
Vient nous raconter des histoires.
Et nous dit de croire
Nous berçant d’un fol espoir.
Assez de prières.
Et de boniments menteurs !
Moines, frocards et chers pères
Servent l’exploiteur
Brûlons les jésuitières,
Chassons tous les corbeaux.
C’en est trop !...Refrain
Oh ! oh !
Bravo !
Voilà les Socialistes
Oh ! oh !
Bravo !
Voilà les Socialos !
au verso :
Hayard. - Paris
[CP de l’édition du journal "Régénération", fondé par Paul Robin. Propagande néo-malthusienne : ivrognes ironisants sur l’acte de fécondité, devant une femme avec trois enfants.]
Editions de RÉGÉNÉRATION, 27, rue de la Duée, Paris, XXe
(Procréation consciente et limitée)D’un disciple de Piot, Roosvelt et Cie
- Te voilà encore pleine, espèce de vache !
- Est-ce ma faute à moi ?
- Après tout je m’en fous ! Débrouille-toi comme tu voudras,
et vive l’armée !
[CP photo, groupe de personnes à majorité masculine avec deux enfants devant le journal "La Voix du Peuple" organe de la C.G.T. alors fortement influencée par les idées libertaires.]
LA VOIX DU PEUPLE
E. Guilleminot, Boespflug et Cie - Paris
[CP, reproduction d’un tableau de I. E. Répine représentant Léon TolstoÏ labourant lui-même son domaine.]
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328. I. E. RÉPINE.
L. Tolstoï aux champs.
L. Tolstoï in the flelds.
L. Tolstoj auf dem Felde.
L. Tolstoj w polu.И. Е. Рѣпин. Л. Н. Толсто́й на пашнѣ
Galerie Trétiakoff.
PRINTED IN PARIS. - LAPINA
[CP de l’édition de "l’anarchie" et des "Causeries Populaires". Dessin d’Eugène Petit : l’alliance du sabre et du goupillon, représenté sous la forme d’un militaire (avec des oreilles d’âne), agenouillé avec tout son barda, auquel s’ajoute les breloques religieuses.]
Symboles utilisés : Curé, prêtre, religieuses, croix, église — Soldat, militaire, policier, caserne — Drapeau ⚐ — Fusil — Epée, sabre — Bonnet d’âne /B_tout>
IL FAUT ÊTRE ABRUTI POUR AVOIR ENCORE L’IDÉE DE DIEU ET DE PATRIE
Eugène Petit
au verso :
Travail en Camaraderie
Imprimerie des Causeries Populaires, 22 rue de la Barre
[CP de l’édition du journal "Régénération", fondé par Paul Robin. Propagande néo-malthusienne : ivrognes ironisants sur l’acte de fécondité, devant une femme avec trois enfants.]
Editions de RÉGÉNÉRATION, 27, rue de la Duée, Paris, XXe
(Procréation consciente et limitée)D’un disciple de Piot, Roosvelt et Cie
- Te voilà encore pleine, espèce de vache !
- Est-ce ma faute à moi ?
- Après tout je m’en fous ! Débrouille-toi comme tu voudras,
et vive l’armée !
CP chanson, parole et musique, série "Les Chants révolutionnaires célèbres, ici : L’Insurgé d’Eugène Pottier.]
LES CHANTS RÉVOLUTIONNAIRES CÉLÈBRES
L’INSURGÉ
Paroles d’Eugène POTTIER - Musique d’Il CHESQUIERE
Mt de Marche
1er Coup.L’insurgé, son vrai nom c’est l’homme
Qui n’est plus la bête de somme,
Qui n’obéit qu’à la raison
Et qui marche avec confiance,
Car le soleil de la Science se lève rouge à l’horizon !
Devant toi misère sauvage Devant toi .... esclavage,
L’insurgé se dresse fusil chargé !On peut le voir aux barricades,
Descendre avec les camarades ;
Riant, blaguant, risquant sa peau.
Et sa prunelle décidé,
S’allume aux splendeurs de l’idée,
Aux reflets pourpres de son drapeau (au Ref)A la bourgeoisie écoeurante,
Il ne veut plus payer la rente,
Combien de milliards tous les ans ?
C’est sur vous, c’est sur votre viande,
Qu’on dépèce un tel dividende,
Ouvriers, Mineurs, Paysans. (au Ref)
au verso :
Hayard, - Paris
CP chanson, parole et musique, série "Les Chants révolutionnaires célèbres, ici : La Sociale de A. H. Marvie.]
Symboles utilisés : Soleil levant ☼ — Curé, prêtre, religieuses, croix, église — Soldat, militaire, policier, caserne — Bourgeois, patron, bourse — Femme — Fusil — Bonnet phrygien — Couleur rouge — Bonnet rouge /B_tout>
LES CHANTS RÉVOLUTIONNAIRES CÉLÈBRES
LA SOCIALE
Parole et Musique de
A. H. MARVIEIl ne s’agit plus aujourd’hui
De meurtres et de barricades
Le peuple fort maître de lui
Répond à vos rodomontades
En avant Unissons-nous c’est le moment
Chantons en chœur et crânement
A bas la calotte, le diable l’emporte
Chassons exploiteurs moinaillons
Bigots cagots poignon blasons
Joignons à l’Internationale
Le cri de vive la Sociale
La Sociale.Plus de victimes de la faim,
Ni de richards suant le vice,
Gloire au travail, et dès demain
Obligeons-les au sacrifice
En avant.Le peuple est maître on le sait bien,
Et si les gros de la finance
Veulent le mâter, nom d’un chien
On leur fera voir comme on danse
En avant.
au verso :
Hayard, - Paris
CP chanson, parole et musique, série "Les Chants révolutionnaires célèbres, ici : La Chanson du Père Duchesne.]
Symboles utilisés : Curé, prêtre, religieuses, croix, église — Bourgeois, patron, bourse — Fusil — Poubelle — Dieu /B_tout>
LES CHANTS RÉVOLUTIONNAIRES CÉLÈBRES
LA Chanson du Père Duchesne
Né en nonante deux
Nom de Dieu,
Mon nom est Pèr’ Duchesne ;
Né en nonante deux
Nom de Dieu ;
Mon nom est Père’ Duchesne ;
Marat fut un soyeux
Nom de Dieu
A qui lui porta haine
Sang Dieu !
Je veux parler sans gène
Nom de Dieu !
Je veux parler sans gèneOn nous promet les cieux,
Nom de dieu ?
Pour toute récompense, (bis)
Tandis que ces messieurs,
Nom de dieu !
S’arrondissent la panse,
Sang-dieu !
Nous crevons d’abstinence
Nom de dieu !
Nous crevons d’abstinencePour mériter les cieux
Nom de dieu
Voyez-vous ces bougresses. (bis)
Au vicair’ le moins vieux
Nom de dieu !
S’en aller à confesse
Sang-dieu !
Se fair’ p’loter les fesses
Nom de Dieu !
Se fair’ p’loter les fessesQuand ils t’appellent gueux,
Nom de dieu !
Sus à leur équipage, (bis)
Un pied sur le moyeu,
Nom de dieu !
Pour venger cet outrage
Sang-dieu !
Crache-leur au visage,
Nom de dieu !
Crache leur au visageSi tu veux être heureux,
Nom de dieu !
Pends ton propriétaire, (bis)
Coup’les curés en deux
Nom de dieu !
Fouts les églis’ par terre
Sang-dieu !
Et l’bon dieu dans la merde
Nom de dieu !
Et l’bon dieu dans la merde
au verso :
Hayard, - Paris
[CP série sur la Montée (de diverses délégations) au Mur des Fédérés en 1907. A noter que les couleurs de ses cartes colorisés dépendaient souvent de la fantaisie du peintre.]
Père Lachaise
Anniversaire de la Semaine Sanglante
2 - Défilé des 7 et 9e Sections du Parti Socialiste, Section de Montreuil, ouvriers de l’alimentation etc. etc...C. P.
[CP série sur la Montée (de diverses délégations) au Mur des Fédérés en 1907.]
Père Lachaise
Anniversaire de la Semaine Sanglante
3 - Couronnes et délégations du XIe arrondissement, des 14e, 18e, 28e Sections etc....
C. P.
[CP série sur la Montée (de diverses délégations) au Mur des Fédérés en 1907.]
Père Lachaise
Anniversaire de la Semaine Sanglante
5 - Défilé des 17e Section, la Bellevilloise, Délégations du XXe etc. etc...C. P.
[CP série sur la Montée (de diverses délégations) au Mur des Fédérés en 1907.]
Symboles utilisés : Soldat, militaire, policier, caserne — Fleur ❀ — Couronne de fleurs, tresse de lierre /B_tout>
Père Lachaise
Anniversaire de la Semaine Sanglante
6 - Délégations de Banlieue défilant devant le Mur des Fédérés.
C. P.
[CP série sur la Montée (de diverses délégations) au Mur des Fédérés en 1907.]
Père Lachaise
Anniversaire de la Semaine Sanglante
5 - Défilé des 17e Section, la Bellevilloise, Délégations du XXe etc. etc...C. P.
[CP de la série de la Commémoration de la Semaine Sanglante du Père Lachaise, montée au Mur des Fédérés en 1907. Numéro 1 le passage des délégations socialistes visiblement bien encadrées par la police.
Père Lachaise
Anniversaire de la Semaine Sanglante
1 - Défilé des Groupes de "L’HUMANITÉ" - Socialistes indépendants du XIIe, délégations de la F. S. de la Seine etc., etc.
[CP du Comité pour le Désarmement Universel, dessin de Roubille, soldats français et allemands labourant la terre.]
" La terre a plus besoin d’être cultivée que d’être ensanglantée."
Voltaire.A. Roubille
au verso :
Edition du " Comité d’Entente Internationale pour le Désarmement
Universel ". (Section française, 28 rue Serpente, Paris).DESSIN DE ROUBILLE.
[CP série du journal d’Henri Fabre et de Victor Méric : "Les Hommes du Jour". Portrait de Sébastien Faure par Aristide Delannoy.]
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"LES HOMMES DU JOUR"
a. delannoy
SÉBASTIEN FAURE
N° 18
3, rue des Grands-Augustins. - Paris (1908)
[Vue animée de la rue Gustave Courbet à Paris.]
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2449 PARIS. - Passy, Rue Gustave Courbet
ND Phot
[CP série du journal d’Henri Fabre et de Victor Méric : "Les Hommes du Jour", portrait du leader socialiste Jean Jaurès par Aristide Delannoy.]
/B_tout>
"LES HOMMES DU JOUR"
JEAN JAURÈS
Delannoy
3, rue des Grands-Augustins, - Paris (1908)
N° 3
[CP série du journal d’Henri Fabre et de Victor Méric : "Les Hommes du Jour" dessin d’Aristide Delannoy, caricature du Général d’Amade en boucher militariste.]
"LES HOMMES DU JOUR"
GÉNÉRAL D’AMADE
Delannoy
3, rue des Grands-Augustins, - Paris (1908)
N° 12
[CP anti-électorale, dessin d’Eugène Petit : Homme attaché au pieux de l’Etat, avec un bandeau sur les yeux et des oreilles d’âne, en train de voter.]
ÉTAT
URNE
L’HOMME QUI VOTE DÉPOSE SA VOLONTÉ DANS
UNE BOITE AFIN DE LA REPRENDRE AU BOUT
DE QUATRE ANS, ... SI ON LE LUI PERMET.
VIVE L’ANARCHIE !Eug. Petit
[CP vue intérieure du Musée d’Ars-en-Ré, offert par le communard anarchiste Jules Perrier (1837-1904), à sa ville natale. A noter parmi les nombreuses peintures des toiles de Gustave Courbet, un portait d’Elisée Reclus, et des oeuvres de William Barbotin, etc.]
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110. ARS-EN-RÉ (Ile-de-Ré) - Intérieur du Musée Jules-Perrier
Collection R. B.
[CP série de l’édition de "l’anarchie" illustrée par Eugène Petit : miséreux regardant le panneau d’affichage des élections.]
Eugène Petit
- A quoi cela m’a-t-il servi d’être électeur ?
[CP de l’édition de "l’anarchie" illustrée par Eugène Petit : un gros bourgeois poursuivit sur un chemin par deux individus armés.]