Accueil > Catégories > zone 4c. complément date > [aaaa ?] date incertaine [

Catégories : zone 1b. Graphistes… - zone 4a. Lieu de l’édition - zone 4b. Nom de l’éditeur (org. éditrice, ...) - zone 4d. Nom de l’imprimeur - Classement des cartes - CP par pays - Genre - Noms cités (liste positive) - Symboles ❦ - langues : autres - Lieux d’archivages - Liste des thèmes - Géographie, géopolitique et Histoire - Séries

[aaaa ?] date incertaine

[


 ?]


1353 cartes postales :

 







    notice :
    [Louise Michel]. — [S.l.] : [s.n.], [1905 ?]. — 1 phototypie (carte postale), n. et b. ; [14 ?] × [9 ?] cm.
    • Classement des cartes  : CPA (carte postale ancienne) avant 1918
    • CP par pays  : France
    • Noms cités (liste positive)  : Michel, Louise (1830-1905)
    • Symboles ❦ :
    • Lieux d’archivages  : IISG Amsterdam
    • Liste des thèmes  :
    • Séries  :

    [Portrait de Louise Michel. Attention le format de cette carte peut être légèrement différent de l’original.]



    Louise Michel





















    notice :
    [Tsar - Le Lièvre et les grenouilles (La Fontaine)] / F. Robertz. — [S.l.] : [s.n.], [1905 ?]. — 1 impr. photoméc. (carte postale), coul. (couleurs  : colorisé) ; [14 ?] × [9 ?] cm.
    • Classement des cartes  : CPA (carte postale ancienne) avant 1918
    • CP par pays  : France
    • Noms cités (liste positive)  : La Fontaine, Jean de (1621-1695)
    • Symboles ❦ :
    • Lieux d’archivages  : image web non située
    • Liste des thèmes  : littérature : satires  ; nihilisme  ; terrorisme
    • Séries  :

    [CP satirique, dessin représentant la peur du tsar Nicolas II confronté au nihilisme et au terrorisme révolutionnaire, illustré par des grenouilles qui s’enfuient. Fragments de la fable de la Fontaine "Le Lièvre et les Grenouilles" (Attention, cette image peut-être sensiblement différente de l’original).]



    Le Sourire N° 233 Les Fables de "La Fontaine"

    Le Lièvre et les Grenouilles

    Un Lièvre en son gîte songeait :
    ...................................................
    ...................................................
    Les gens de naturel peureux
    Sont, disait-il, bien malheureux !
    .....................................................
    Jamais un plaisir pur, toujours assauts divers.
    Voilà comme je vis, toujours cette crainte maudite
    m’empêche de dormir, sinon les yeux ouverts.
    .......................................................
    .......................................................
    .......................................................
    .......................................................
    Et d’où me vient cette vaillance ?
    Comment !... des animaux qui tremblent devant moi !
    Je suis donc un foudre de guerre !...
    .......................................................
    Morale : On trouve toujours un plus poltron que soi.

    NIHILISME
    TERRORISME

    F. Robertz ....






    notice :
    [A lo czar Nicolò II - Saluto Italico - Pietro Gori]. — [S.l.] : [s.n.], [1905 ?]. — 1 phototypie (carte postale), n. et b. ; [14 ?] × [9 ?] cm.
    • Classement des cartes  : CPA (carte postale ancienne) avant 1918
    • CP par pays  : Italie
    • Noms cités (liste positive)  : Gori, Pietro (1865-1911)
    • Symboles ❦ :
    • Lieux d’archivages  : Fondazione Basso - fondo Alberto Guabello
    • Liste des thèmes  : dictature  ; littérature : poésie  ; répression
    • Séries  :

    [CP italienne anti-tsariste, poésie de Pietro Gori.]



    A lo czar Nicolò II

    SALUTO ITALICO

    — " Cesare, ai lidi, su cui Bruto vigila
    — dagli avamposti della nova età,
    — e donde oggi, nel sole, alati ascendono
    — i Fati e gl’ inni de la libertà,
    tu giungi, ascoso, tra gli acciari e i fulmini
    di guerra presso l’ospite regal...
    Sul capo augusto da le antenne dondola,
    come un capestro, il labaro imperial...
    — " Quanto sangue ci volle, o cristianissimo,
    — a dar possa a quel cencio, e quanta fu
    — la corda e quanto il piombo, onde sul popolo
    — piovvero i doni de la tua virtù ?
    " Piccoto padre, qual di pianti oceano
    la tua prora, per giunger navigò ?...
    Qual, vèr l’abisso, vortice di spasimi
    tra ondate di martirio la sferzò ?...
    — "Come dai fiordi - oh se tremasti - a sbattere
    — su la tua fronte un gran soffio salì.
    — pur da Mar Nero le ombre turbinarono
    — di chi maledicendoti morì ?...
    " Romba il cannone - ma non è d’Italia
    la voce ; il suo saluto oggi non è
    nel tricolore, che da l’alto sventola...
    Despota, il solo che t’abbraccia é il re.
    — " Oggi il pensiero ed il presagio italico
    — volano a l’ampia steppa, o terreo sir,
    — a le prigioni, a le Siberie tragiche,
    — ove geme l’indomito avvenir ;
    ai morituri, ai combattenti, ai taciti
    giganti del riscatto e del dolor,
    a la tua gloria, a insorta Russia giovine,
    contro gli sgherri de t’impérator,

    PIETRO GORI






    notice :
    [Avenir Social - Lamartine - Les Révolutions]. — Épone (S.-et-O.) : Avenir Social (l’), [1905 ?]. — 1 phototypie (carte postale), n. et b. ; [9 ?] × [14 ?] cm.
    • Classement des cartes  : CPA (carte postale ancienne) avant 1918
    • CP par pays  : France
    • Noms cités (liste positive)  : Lamartine, Alphonse de (1790-1869)  ; Vernet, Madeleine (1878-1949)
    • Symboles ❦ :
    • Lieux d’archivages  : image web non située
    • Liste des thèmes  : anarchisme  ; communautés et milieux libres  ; éducation  ; littérature : poésie
    • Séries  : Avenir Social - Poésie

    [CP de l’Avenir Social" l’école de Madeleine Vernet à Epone (Seine-et-Oise). Série de carte consacré à la poésie : poème empreint d’optimisme et portrait d’Alphonse de Lamartine.]



    Editions de "l’AVENIR SOCIAL"
    ÉPONES (S.-et-O.)
    N° 4

    LES RÉVOLUTIONS

    Marchez ! - l’Humanité ne vit pas d’une idée !
    Elle éteint chaque soir celle qui l’a guidée,
    Elle en allume une autre à l’immortel flambeau :
    Comme ces morts vêtus de leur parure immonde.
    Les générations emportent de ce monde
    Leurs vêtements dans le tombeau.

    Là, c’est leurs dieux ; ici, les mœurs de leurs ancêtres ;
    Le glaive des tyrans, l’amulette des prêtres,
    Vieux lambeaux, vils haillons des cultes ou des lois ;
    Et quand après mille ans, dans leurs caveaux en fouille ;
    On est surpris de voir la risible dépouille
    De ce qui fut l’homme autrefois.
    ....................................................
    ....................................................

    Enfants de six mille ans qu’un peu de bruit étonne,
    Ne vous troublez donc pas d’un mot nouveau qui tonne,
    D’un empire éboulé, d’un siècle qui s’en va !
    Que vous font les débris qui jonchent la carrière ?
    Regardez en avant et non pas en arrière :
    Le courant roule à Jéhovah !... (1)

    (1831) LAMARTINE.

    (1) C’est-à-dire l’Humanité va vers une fin meilleure, vers la perfection morale.

    Vendu au bénéfice de l’ORPHELINAT OUVRIER




    notice :
    [Histoire d’un crime] / Édouard Couturier. — [S.l.] : [s.n.], [1906 ?]. — 1 impr. photoméc. (carte postale), coul. (couleurs  : colorié) ; [9 ?] × [14 ?] cm.
    • Classement des cartes  : CPA (carte postale ancienne) avant 1918
    • CP par pays  : France
    • Noms cités (liste positive)  : Dreyfus, affaire (1894-1906)  ; Lazare, Bernard (1865-1903)  ; Zola, Émile (1840-1902)
    • Symboles ❦ :
    • Lieux d’archivages  : image web non située
    • Liste des thèmes  : art : dessin  ; juifs anarchistes  ; justice  ; manifeste  ; procès
    • Séries  :

    [CP illustrée de l’affaire Dreyfus par Couturier : montrant Émile Zola à la barre devant les juges.]



    N° 12 HISTOIRE D’UN CRIME

    PAR COUTURIER

    M. Bernard Lazare révéla le premier l’innocence de Dreyfus. M. Scheurer-Kestner vint le secourir dans sa tâche. Puis ce fut M. Mathieu Dreyfus, le frère du capitaine déporté, qui avait enfin découvert l’auteur du bordereau, le faisait poursuivre. L’Accusé, le commandant Esterbazy, fut acquitté !

    Alors, un homme, que tout un passé de travail et d’honneur glorifiait, se leva indigné, et lança un manifeste au Président de la République : J’ACCUSE ! qui parut dans l’Aurore du 13 janvier 1898. Protestation sublime ! Chef-d’œuvre enflammé qui révolutionna le monde.

    Zola, audacieusement sacrifia sa carrière de labeur, son nom d’honnête citoyen, sa fortune pour la vérité, pour la justice.

    - La Vérité est en marche, rien ne l’arrêtera ! "